Après un premier test en septembre avec Louis Vuitton, Guerlain, Air France et Ikea, Pinterest annonce l’ouverture de la publicité à tous les annonceurs en France. Le premier pays non anglophone à la proposer. Le réseau permet, en France, d’enregistrer chaque jour plus de trois millions d’idées principalement sur les sujets comme la cuisine, la décoration, la mode et la beauté. « Nous pensons que notre offre publicitaire apporte une valeur particulière aux annonceurs, en leur permettant de cibler les utilisateurs qui considèrent activement ce qu’ils veulent réaliser ou acheter, mais qui ne sont pas encore passés à l’action. C’est cette intention, au début du processus d’achat, qui distingue Pinterest des autres plateformes. Désormais, les annonceurs peuvent utiliser les épingles sponsorisées pour toucher les utilisateurs français de Pinterest, au moment où ils cherchent de nouvelles inspirations » explique Adrien Boyer, country manager France de Pinterest. Avec ce lancement, la publicité sur Pinterest est maintenant disponible dans sept pays dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada, l’Irlande et la Nouvelle-Zélande.

A fin novembre, 145 000 internautes ont cliqué sur la vidéo que l’agence a réalisé en motion design pour notre client Orange.  Une vidéo qui présente les fonctionnalités du nouveau Mail Orange. A découvrir sur la chaîne Daily motion Orange ici !

Snapchat a lancé hier en France ses « Shows », des vidéos au format plus long qui viennent compléter les pages « Discover » et sont produites par des médias. Le réseau social, qui attire un public jeune, avait annoncé en octobre aux Etats-Unis le lancement de séries exclusives, un nouveau produit d’appel pour contribuer à relancer cette plateforme qui a été bousculée par le lancement des « stories » sur Instagram et qui a perdu, pour la première fois, des abonnés mi-2018. Ces « Shows », filmés en format vertical, adaptés à un smartphone, ont aussi été lancés au cours des dernières semaines en Grande-Bretagne, Irlande et Norvège. Leur objectif : retenir les utilisateurs plus longtemps sur la plateforme, face à la concurrence de nombreuses autres applications. En France, l’accent est mis sur des formats d’actualité de 3 à 7 minutes, conçus pour « une génération habituée » à consommer des contenus courts, et les programmes de fiction pourraient venir plus tard, a expliqué lors d’une conférence de presse Emmanuel Durand, PDG de Snapchat en France.

Snapchat s’appuie sur des partenaires déjà présents pour la plupart dans son onglet « Discover » comme Konbini News, Tastemade, Webedia ou encore meltygroup, mais a aussi établi de nouveaux partenariats avec BFMTV, M6 (Golden News), France TV Slash, MAD (groupe Figaro), le média Loopsider ou encore l’Olympique de Marseille, 17 Juin Media, Les Eclaireuses et Mediawan Thematics. Les revenus des publicités, qui s’intercalent tous les deux ou trois messages, sont partagés « de manière équitable » entre Snapchat et les éditeurs, selon Emmanuel Durand.

Un an après avoir doublé la longueur des tweets, Twitter a observé que les messages sont paradoxalement devenus en moyenne légèrement plus courts et les twittos plus polis. En anglais, ils font en moyenne 33 caractères, soit un de moins qu’avant le doublement de la longueur maximale. Seulement environ 1% des tweets atteignent les 280 caractères tandis que 12% dépassent les 140 caractères, le format d’origine.
Twitter a aussi observé qu’ « avec 280 caractères, les gens disent davantage +please+ (« s’il vous plaît ») (+54%) et +thank you+ (« merci ») (+22%) » et utilisent beaucoup moins d’abréviations. Ces tendances se retrouvent dans toutes les langues qui avaient connu le doublement de la longueur des tweets l’an dernier, a précisé le réseau social.
En novembre 2017, Twitter avait opéré une mini-révolution en abandonnant la limite de 140 caractères dans les langues en caractères latins, un seuil qui posait problème aux utilisateurs dans ces langues, contrairement au japonais, coréen ou chinois, langues plus compactes.

 

Snapchat déploie un nouveau pixel de ciblage, similaire à celui proposé par Facebook aux annonceurs désireux de tracker l’activité des utilisateurs du réseau social sur leur site. De nouveaux formats publicitaires axés sur le social commerce sont aussi officialisés. Annoncé l’an dernier, Advanced Pixel Targeting, permet aux annonceurs de créer des segments d’audience en analysant le comportement des utilisateurs de Snapchat sur leur site, comme par exemple les catégories consultées sur un site marchand. Ils pourront ensuite cibler ces utilisateurs sur Snapchat, via des campagnes personnalisées en fonction de leurs préférences d’achat.

Les Stories sur Facebook et Messenger, ce sont 300 millions de personnes qui les utilisent quotidiennement. De quoi permettre au réseau social d’annoncer officiellement mercredi l’introduction partout dans le monde de la publicité dans ce format, un an après sa mise à disposition dans les Stories Instagram. « Nous commencerons également à diffuser progressivement des publicités dans Messenger Stories au cours des prochaines semaines », indique Laurent Solly vice-président Europe du Sud de Facebook. La plateforme entend ainsi « donner plus d’options aux annonceurs pour leur permettre de toucher plus efficacement les consommateurs, tout en proposant une expérience fondamentalement mobile, personnalisée et non-interruptive », explique un communiqué. Une option de placement qui n’est pour le moment disponible que dans le cadre d’une campagne dans les Stories ou dans le Fil d’actualité existante. Les Stories Facebook seront quant à elle disponibles comme emplacement à part entière « dans les mois à venir ». Quelques annonceurs français ont pu tester en avance la nouvelle fonctionnalité (Mini pour le lancement de son « Countryman », Dior pour présenter son défilé Automne-Hiver 2018-19 et faire la promotion de son nouveau sac Saddle, et Monoprix pour la promotion de sa dernière collection de vêtement.

Le baromètre Hootsuite des médias sociaux a évalué l’incontournable réalité du social media pour les entreprises. Et 73% d’entre elles estiment que leur utilisation va continuer d’augmenter. Développer la notoriété de l’entreprise (91%), gérer la réputation de la marque (74%) et bâtir et gérer une communauté engagée (70%), sont les principaux objectifs poursuivis par les entreprises françaises interrogées.
Seul bémol, 58% ont du mal à évaluer si leurs campagnes sur les réseaux sociaux fonctionnent et la moitié peinent à interpréter les données qui en découlent.

Le guide est à télécharger à l’adresse suivante : https://hootsuite.com/fr/resources/guide/barometre-2018-fr#

Twitter a lancé une obligation d’authentification pour les annonceurs qui se servent du réseau pour des publicités sensibles et ainsi tenter de tuer dans l’œuf les innombrables campagnes de désinformation et de manipulation ayant défrayé la chronique ces derniers mois. Ce nouveau règlement fait notamment obligation aux annonceurs de produire une photo d’identité et des moyens fiables pour les contacter. Il interdit aussi à des médias d’État ou à des entités gouvernementales de diffuser des publicités politiques sur le réseau, en dehors de leur pays. Twitter veut désormais « certifier » les annonceurs, qui devront remplir un certain nombre de critères, et les publicités elles-mêmes seront identifiées comme des messages à caractère politique. « Il s’agit par ce nouveau règlement d’être plus transparent envers le grand public sur ces publicités dont le but est d’influencer l’opinion des gens sur des sujets qui peuvent changer le résultat d’une élection », ont expliqué Del Harvey et Bruce Falck, deux responsables de Twitter, sur internet. Ces nouvelles règles s’appliquent aux messages payants consacrés à des hommes politiques ou qui abordent des législations sur des sujets d’intérêt national. Parmi les exemples donnés par Twitter : l’avortement, l’immigration, les droits civiques, les armes à feu, le changement climatique, la sécurité nationale, les retraites ou encore les impôts et le commerce.

Le CEO de l’agence, Laurent Borrell, était invité hier soir au Palais Brongniart pour le lancement de la crypto-monnaie Myrillion. Le projet Myrillion consiste à créer une communauté d’utilisateurs appartenant au monde du divertissement, regroupés autour d’un moyen d’échange dédié à cette communauté et reposant sur un réseau sécurisé et décentralisé accessible à tous les utilisateurs, la blockchain. MYL est la monnaie cryptée des acteurs et des consommateurs de l’industrie du divertissement et constitue l’unité de compte pour toutes les transactions économiques au sein de l’écosystème Myrillion. Vous pouvez découvrir les photos de la soirée à l’adresse https://www.pinterest.fr/nabisconseil/

Facebook a annoncé qu’il allait désormais proposer dans le monde entier son service de contenus de vidéo Watch, déjà déployé aux Etats-Unis depuis un peu plus d’un an. « Nous avons créé ce produit de manière à ce que les utilisateurs ne soient pas dans une logique de consommation passive des vidéos mais qu’ils puissent y participer. Nous espérons qu’ils auront le sentiment d’avoir passé un moment enrichissant », a expliqué la vice-présidente produits en charge de la vidéo et de la publicité, Fidji Simo. Le service doit permettre aux utilisateurs de proposer bien entendu de nouvelles vidéos mais également trouver les dernières vidéos classées par thème, de sauvegarder certaines vidéos, d’échanger avec les créateurs voire d’y interagir. Le groupe a par ailleurs « passé énormément de temps avec les éditeurs » de contenus afin de « laisser à chacun la possibilité de monétiser ses créations » via une série d’outils permettant d’intégrer de la publicité aux contenus, a ajouté Fidji Simo. Cette annonce du réseau social intervient deux semaines après celles concernant la diffusion gratuite et en direct des coupes d’Europe de football, Ligue des Champions et Ligue Europe en Amérique du Sud, et de la première division espagnole La Liga en Asie du Sud. « Les contenus que nous achetons ne sont qu’une part très faible des contenus qui seront disponibles sur Watch. Et nous sommes confiants dans le fait que la monétisation permettra de voir beaucoup de créations », a insisté Mme Simo. Le groupe californien vient également concurrencer un peu plus les autres géants américains du secteur, en particulier Google avec sa propre plateforme vidéo, YouTube, mais également Amazon, qui propose désormais de la vidéo à la demande avec son offre Prime.