LinkedIn vient d’annoncer le lancement de la fonctionnalité Office Hours, qui permet aux formateurs d’organiser des événements en direct sur la plateforme d’apprentissage, LinkedIn Learning. Grâce à ce nouvel ajout, les internautes ont la possibilité de s’informer sur les « tendances du secteur et d’interagir avec des experts en temps réel en publiant des questions, des commentaires, et des réactions ». Cette fonctionnalité sert également l’économie « croissante » des créateurs. Ils pourront utiliser la plateforme pour interagir davantage et faire croître leur audience. Cette annonce intervient dans un contexte où les habitudes liées au travail se modifient. « Les gens prennent le contrôle de leur carrière d’une nouvelle manière, en s’appuyant sur leur réseau et en perfectionnant leurs compétences », explique Jonathan Rochelle, membre de l’équipe de LinkedIn Learning. Comparé à l’année dernière, LinkedIn précise que 53 % d’heures de contenus d’apprentissage ont été visionnées en plus sur LinkedIn Learning.

Instagram a ajouté un curseur pour permettre aux utilisateurs de limiter l’apparition d’images dites « sensibles » sur leur fil. Ils auront désormais le choix entre « autoriser », « limiter » (l’option cochée par défaut) et « limiter encore plus » les photos et vidéos qui peuvent « perturber ou offenser ». Les jeunes de moins de 18 ans n’auront pas accès à l’option « autoriser ». « Nous reconnaissons que chaque personne a des préférences différentes en termes de ce qu’elle veut voir dans « Explore » (le fil général, ndlr), et ce contrôle donnera plus de choix aux gens », a expliqué, dans un communiqué, Facebook, la maison mère de l’application. Les contenus « sensibles », chez Instagram, concernent principalement la violence et les allusions sexuelles. Son règlement interdit notamment la nudité – les utilisateurs n’ont pas le droit de montrer certaines parties du corps, sauf exceptions, comme l’allaitement ou les œuvres d’art. Ce curseur doit permettre aux utilisateurs, s’ils le souhaitent, de voir encore moins de contenus autorisés mais considérés comme tendancieux par l’appli.  « Nous avions déjà commencé à avancer dans cette direction avec des outils, comme la possibilité de désactiver les commentaires ou celle d’empêcher quelqu’un d’interagir avec vous sur Instagram », rappelle la plateforme. Il y a quatre ans, elle avait aussi ajouté un filtre flou sur les contenus « sensibles », avec un avertissement qui laisse le choix à l’utilisateur de voir l’image ou pas. Mais la pression reste toujours aussi forte sur les réseaux sociaux, qui cherchent à la fois à faciliter l’expression libre de leurs utilisateurs et créateurs, tout en répondant aux inquiétudes de la société sur l’utilisation des plateformes à des fins mal intentionnées, du harcèlement en ligne à la désinformation.

Facebook vient de lancer son service de newsletter – Bulletin -, qui vise à concurrencer Substack et Revue de Twitter. Bulletin a été élaboré sur une plateforme distincte de celle de Facebook – et il n’est pas nécessaire d’avoir un compte Facebook pour s’abonner à une newsletter. Via des leviers de création, diffusion et monétisation, la société de Mark Zuckerberg ambitionne de se positionner rapidement comme un leader du secteur. 

Pour ses débuts, la liste des rédacteurs est stricte : tous anglophones, aucun n’est spécialisé dans la politique puisque l’entreprise souhaite éviter toute polémique pour les débuts du serviceLa plateforme souhaite favoriser l’économie des créateurs, si chère à Zuckerberg depuis quelque temps : aucune commission ne sera prélevée au lancement et Facebook Pay sera chargé des transactions. Par ailleurs, les différents outils du réseau social seront mis à disposition des écrivains : groupes, Facebook Live et Live Audio Rooms ainsi que les divers outils de modération préexistants. Selon le CEO de Facebook, le service est « axé sur l’autonomisation des écrivains indépendants, en les aidant à atteindre de nouveaux publics et à dynamiser leurs entreprises »

À l’issue d’une consultation, Orange Business Services a retenu Nabis conseil pour prendre en charge la communication auprès des professionnels de santé clients de l’opérateur. L’accompagnement consistera à définir le dispositif de communication, déployer les outils digitaux (site web, e-news), animer les communautés (conseillers Orange, Assistance, réseaux sociaux) et coopérer avec les organismes de santé.

L’agence a également été sollicitée par le groupe DomusVi  (troisième Groupe privé d’accueil et de services pour personnes âgées en France) pour optimiser et faire évoluer son dispositif de communication interne.

LinkedIn augmente la limite de caractères par post, passant de 1300 à 3000. Plus vous écrirez de longs mails, plus vos chances de conversion seront élevées ! Par ailleurs, tous les posts de LinkedIn seront désormais indexés dans Google alors qu’avant seuls les articles apparaissaient dans les recherches Google. Enfin, LinkedIn a fait un nettoyage complet des faux profils d’après son dernier rapport de transparence publié fin mai : « Nos outils automatisés ont bloqué la grande majorité (98,3 %) des faux comptes. Nous avons également constaté une diminution significative de la création de faux comptes, et une diminution correspondante du spam et du contenu d’escroquerie généré par les faux profils ».

Facebook a annoncé le lancement en France de la labellisation de publications relatives au changement climatique dans son fil d’actualité. Cette labellisation consistera à afficher des messages informatifs sous les publications, redirigeant les utilisateurs vers le Centre d’information sur le climat « afin d’être plus au fait de l’état des connaissances scientifiques dans ce domaine et d’en apprendre davantage des principales organisations œuvrant contre le réchauffement climatique ». Ces messages informatifs, initialement lancés en test au Royaume-Uni, sont également déployés simultanément  toujours dans le cadre de ce test – en Allemagne, en Irlande, au Canada, aux États-Unis, en Afrique du Sud et au Nigéria.

Le Centre d’information sur le climat est un espace dédié sur Facebook qui connecte les utilisateurs avec des données scientifiques, des informations accessibles et des ressources utiles des principales organisations mondiales de lutte contre le changement climatique provenant du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et de son réseau mondial de partenaires en sciences du climat, comme le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) ou des organisations françaises comme Météo-France, l’institut de recherche universitaire Institut Pierre Simon Laplace (IPSL) ou l’association Météo et Climat, Société française de la météorologie et du climat. Dernièrement, le Centre d’information sur le climat a été complété d’une rubrique « Faits relatifs au changement climatique » qui vient corriger certaines idées reçues sur le changement climatique et son impact.

La hype que connaît l’application de discussions vocales Clubhouse fait des émules, inspirant jusqu’aux plus grands médias sociaux du monde. La plateforme, créée en mars 2020, propose des salons de conversations uniquement audio. Un modèle innovant qui a d’ailleurs permis à la société de boucler une nouvelle levée de fonds qui porte sa valorisation à 4 milliards de dollars. 

Influencé par le succès de la jeune appli, le grand Facebook expérimente l’audio et a annoncé que ses utilisateurs pourront écouter des podcasts directement sur sa plateforme et créer des salons de conversation («Live audio rooms»). De la même manière, LinkedIn travaille sur une fonctionnalité de réseautage audio, ce qui serait assez pertinent pour le réseau social professionnel dont les principaux sujets de discussions sont le marketing et l’entrepreneuriat, comme Clubhouse…  Ou encore, la messagerie collaborative Slack a annoncé que des canaux vocaux seront bientôt disponibles.

De son côté, le rival Discord, plateforme de communication venue de l’univers du jeu vidéo, qui propose déjà des canaux vocaux qui permettent aux utilisateurs de parler librement, a lui aussi inauguré un nouvel outil de type Clubhouse. Baptisée «Stage Channel», il est spécifiquement conçue pour ne permettre qu’à un certain nombre de personnes de parler à un groupe d’auditeurs.

Le réseau LinkedIn a annoncé le lancement de nouvelles fonctionnalités « afin d’aider les marketeurs, les créateurs de contenus et les freelances à promouvoir leur marque et leur entreprise. Déployés à l’échelle mondiale, ces nouveaux outils permettront aux 21 millions de membres LinkedIn en France de présenter leurs contenus, marques, services, compétences et expertises, et d’échanger avec une communauté professionnelle en plein essor », a indiqué le réseau.
Première nouveauté, le Mode Créateur, pour mettre en valeur les contenus. Les créateurs désireux d’agrandir leur communauté LinkedIn et qui publient régulièrement des contenus sont invités à activer le Mode Créateur depuis leur tableau de bord. Avec cette nouvelle fonctionnalité, ils pourront désormais augmenter le nombre de leurs abonnés en intégrant un bouton « Suivre » à leur profil et mettre en avant leurs expertises en ajoutant des hashtags en haut de leur page de profil (par exemple #design). De plus, le contenu sera davantage mis en évidence dans la rubrique Activité.
Autre fonctionnalité, la vidéo Cover Story. Cover Story est une nouvelle fonctionnalité dans le profil LinkedIn, qui permet aux membres de partager leur parcours en vidéo de manière plus personnelle et engageante. « Vous êtes un indépendant ou un dirigeant d’entreprise, et vous souhaitez développer votre activité ? Grâce à cet outil, vous pouvez présenter vos services et votre expertise, et ainsi attirer de nouvelles audiences et de nouveaux clients », a expliqué LinkedIn.
Enfin, la fonctionnalité Open for Business. Accessible depuis leur profil, les freelances et les dirigeants de petites entreprises pourront désormais créer des Services Pages pour présenter leurs services. « Ils bénéficieront ainsi d’une meilleure visibilité auprès des 740 millions de membres de la communauté mondiale LinkedIn, dont 21 millions en France ». Les Service Pages seront modifiables et gérables directement par les membres depuis leur profil LinkedIn. Dans les mois à venir, de nouveaux outils de gestion des services et d’interaction avec la clientèle seront intégrés aux Service Pages. Les utilisateurs pourront également voir directement les notes et commentaires reçus via les Service Pages.
« Nous sommes ravis d’offrir aux marketeurs, aux créateurs de contenus et aux freelances des outils innovants pour valoriser leurs contenus, services et expertises, dans le but d’élargir leur audience et d’interagir avec une communauté professionnelle toujours en plein essor. Les créateurs sont les véritables moteurs de notre communauté : ce sont des initiateurs de conversations et d’engagement autour de thématiques professionnelles, tout en proposant des contenus et des partages d’expériences. Nous voulons soutenir notre communauté créative sur LinkedIn et nous espérons que ces nouvelles fonctionnalités permettront à leurs contenus inspirants de toucher un plus large public encore », a déclaré Ioana Erhan, Directrice LinkedIn Marketing Solutions chez LinkedIn France.

Le réseau social financera la réalisation de 50 émissions audio par des créateurs sur sa plateforme, à hauteur de 5 000 dollars par mois, pendant un trimestre à compter du 10 mai 2021. Les créateurs recevront également un soutien créatif et du matériel. Dans le panel des pitchs : une chasse au trésor sur Internet, une émission sur les ovnis et les extraterrestres, un show sur la culture de la coiffure ou encore un jeu intitulé « Serial Killer Speed Dating ». La plateforme assure que cette initiative « aidera à soutenir de nouvelles voix avec des outils et des ressources pour libérer leur créativité sur la plateforme ». Elle dit avoir été « époustouflée par la profondeur et la diversité des idées proposées par la communauté et Les créateurs sont originaires du monde entier

Facebook a annoncé le lancement d’un nouvel outil pour offrir à ses utilisateurs davantage de contrôle sur les contenus partagés dans leur fil d’actualité. Les utilisateurs peuvent désormais contrôler qui peut commenter leurs publications publiques en choisissant parmi plusieurs options allant de toute personne pouvant voir la publication aux personnes et aux pages que qu’ils identifient uniquement. « En choisissant qui peut commenter, vous pouvez orienter la conversation et limiter les interactions potentiellement indésirables sur vos publications publiques. Cette option s’applique également si vous êtes une personnalité publique, un créateur ou une marque. Ce nouvel outil est le dernier exemple en date de la façon dont nous vous aidons à contrôler et à organiser votre fil d’actualité afin qu’il reflète mieux qui vous êtes, à mesure que vos centres d’intérêt et priorités évoluent. Nous voulons également continuer de vous aider à comprendre pourquoi vous voyez le contenu que vous voyez dans le fil d’actualité », a indiqué le réseau social.

Facebook a également lancé Favoris, un outil qui permet de faire apparaître les publications des amis et des pages qui intéressent le plus les utilisateurs en premier dans le fil d’actualité. Ils peuvent ajouter jusqu’à 30 amis et pages à leurs favoris. Les publications des favoris apparaîtront plus haut dans le fil d’actualité. Les favoris peuvent également être utilisés en tant que filtre. Les personnes qui utilisent fréquemment les favoris pourront y accéder à partir de la barre de filtres pour le fil, un nouveau menu en haut du fil d’actualité. La barre de filtres pour le fil offre également un accès rapide à la fonctionnalité Plus récentes, qui permettra de basculer entre un fil d’actualité classé par algorithme et un fil d’actualité trié par ordre chronologique, dans lequel les publications les plus récentes s’affichent en premier. Bientôt, les utilisateurs de l’application Android pourront accéder à la barre de filtres pour le fil en haut du fil d’actualité. La même fonctionnalité sera testée dans l’application iOS dans les semaines à venir. Les suggestions de publications dans le fil d’actualité sont influencées par différents facteurs, a rappelé Facebook, à savoir : les interactions connexes, les sujets connexes et le lieu.